Cette theorie est l’aboutissement d’un contexte economique et social tres particulier.
Dans les faits, les Etats-Unis connaissent votre developpement industriel sans precedent.
Dans differents secteurs, comme le textile, l’acier, l’automobile et Les aliments de consommation de masse, la production est croissante.
Cependant, la requi?te etant superieure a l’offre, les tarifs augmentent donc. Les entreprises doivent embaucher et surtout trouver une methode de production efficace, Afin de produire en tres grande quantite.
2 – J’ai methode scientifique
Pour satisfaire une telle exige tres consequente, nos firmes cherchent a accroitre un productivite.
Pour ce qui, elles doivent abandonner leurs methodes artisanales et en adopter de nouvelles, permettant des cadences superieures ainsi qu’une baisse des couts de production.
Pour Taylor, conduire une entreprise s’apparente a une science.
3 – J’ai performance grace a la rationalisation
L’OST est basee concernant une analyse tres poussee des operations accomplies lors en production.
L’etude des methodes doit permettre d’eliminer les operations inutiles et de diviser chaque operation en un ensemble de taches elementaires.
Chacune des taches est confiee a un ouvrier.
Celui-ci va se specialiser dans une tache qu’il executera en suivant des consignes prescrites.
B – Mes apports et les limites du taylorisme
1 – Des progres considerables
J’ai mise en ?uvre de l’OST a contribue au developpement de production de masse, la rationalisation des methodes de conception a entraine des gains de productivite considerables pour les firmes (gains de productivite = produire efficacement et plus rapidement).
Chez un entrepreneur de maconnerie, Taylor fait passer les ouvriers de 120 a 350 briques a l’heure.
Les gains de productivite s’accompagnent donc d’une augmentation des profits,mais aussi d’une augmentation des salaires Afin de nos ouvriers et d’une diminution des prix Afin de nos consommateurs.
2 –Des limites importantes
Quelques critiques pourront etre adressees a l’OST : la division des taches, qui reste 1 principe essentiel du taylorisme, conduit a une parcellisation du travail.
L’ouvrier n’est plus responsable d’une part de la production mais juste d’une seule operation qu’il recommence inlassablement.
Or la repetition d’une aussi tache conduit a des maladies professionnelles graves et deshumanise le travail et demotive nos salaries.
II – Mes autres formes d’organisation de la production
A – Mes caracteristiques des nouveaux modeles d’organisation
1 – Changer les caracteristiques du projet
Pour lutter contre la parcellisation du boulot, les entreprises vont enrichir nos taches.
Ca consiste a etoffer le contenu du projet (a la place de faire qu’une tache, le salarie en fait diverses) afin que le salarie soit plus interesse et donc plus motive.
Un autre modele d’organisation d’embauche consiste a developper la ti?che en equipe autonome.
Chaque equipe reste responsable collectivement d’une partie en production. Les ouvriers ne sont plus seuls a gerer une seule tache mais collabore en equipe Afin de un ensemble de taches.
Par consequent, nos equipes autonomes cassent l’isolement des salaries et leur rendent la maitrise d’un ensemble d’operations, donc des rends plus responsables.
2 – Adapter le modele d’organisation
D’autres modeles de production sont issus de nouveaux pays industriels, tel que le Japon. Le manquede capacite de stockage a incite les industriels japonais a adopter une production en flux tendu, qui permet de produire a la commande et d’eviter les stocks.
Le systeme de production de Taylor reste caracterise par la chasse systematique au gaspillage et a la non-qualite.
En parallele, la participation active des salaries et requise grace a des cercles haut de gamme dans lesquels les salaries donnent leurs avis sur la production et des problemes eventuels qu’elle retrouve.
Lors de ces reunions, ils essayent d’ameliorer par leurs propositions a tous nos niveaux hierarchiques la qualite d’la production.
Enfin, le travail reste rationalise en equipes avec pour objectif d’ameliorer continuellement nos performances.
B – Mes apports et les limites de 
ces nouvelles organisations
1 – Mes gains obtenus
Des nouveaux modeles d’organisation du travail ont permis des gains consequents en matiere de productivite.
En regagnant de l’interet au travail, les salaries ont accru leur cadence.
La ti?che, surtout en equipe, a revele des productivites encore inutilisees.
Le modele japonais s’est impose tel une solution de confiance au taylorisme : il permettra de rendre les entreprises plus reactives et plus flexibles, et cela est votre imperatif aujourd’hui afin d’effectuer face a la concurrence.
2 – Mes limites de ces modeles
Mes modeles japonais n’ont jamais que des interets.
S’ils contribuent a Notre valorisation du travail, a Notre responsabilisation et a l’autonomie, il peche par rapport i la remuneration qui reste faible et donc peu motivante pour les salaries.
De plus, votre modele demande au personnel d’etre plus flexible, plus polyvalent, plus mobile, et cela entraine votre stress au article et donc des absences.
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