Il y aura des extraits de mes documents, des remarques sur mes lectures et, je l’espere, des idees de lectures de votre part.
Changement de paysage !
A partir de votre jour, vous trouverez le reste des textes et des extraits sur votre nouvelle adresse. Blogger etant devenu une plateforme trop compliquee a gerer, j’ai decide de migrer par une nouvelle plateforme. Je vous donne l’adresse ci-dessous :
PS : je ne vais nullement pouvoir Realiser migrer mes articles, je vais devoir les poster directement concernant le nouveau blog. Cela risque de prendre quelques temps aussi je m’excuse pour nos notifications et le temps sans reelle nouveautes.
lundi 6 fevrier 2017
extrait numero 8
Le restaurant etait fort chic. Situe proche des Champs-Elysees, l’etablissement couplant restaurant et hotel quatre etoiles, respirait le luxe. Le maitre d’hotel nous conduit par un petit salon, privatise Afin de notre diner. Un serveur apparut pour nous prendre des manteaux et nous donner les menus. Nicolas, en bon gentleman, m’aida a retirer la veste. Je l’entendis expirer serieusement en voyant mes epaules a nouveau a decouvert. Je le sentais bien contre moi mais une telle impression disparue quand il confia les affaires au serveur. Nous nous sommes foutu a table, essayant de nous cacher derriere les menus, aussi si je sentais son regard qui tentait de percer une telle pauvre barriere de papier cartonne plastifie.
– Avant de commence, j’aimerais vous demander quelque chose.
Ma curiosite piquee au vif, je descendis mon menu sur mes genoux concernant le analyser.
– Je n’ai gui?re ete tres correct ce matin, ni hier jour. Et je ne m’en excuserais pas assez. Je n’ose aussi jamais essayer de comprendre la situation dans laquelle je vous ai mis hier, ainsi, Hier quand, par pure mechancete, j’ai invite Nathalie. Naturellement, j’ai annule ce repas avec elle car je considere le comportement tel votre abandon de poste. Je n’ai jamais evoque la nom, c’est Jack qui est venu me le confirmer.
Perdue au debut de son discours, je ne me souvenais plus qui etait Jack.
– L’homme qui sortait du travail quand vous etes entree cet apres-midi, me repondit-il calmement. C’est mon associe, specialiste judiciaire, c’est a lui de preparer les contrats avec notre service DRH. Cela m’apporte une aide precieuse.
Une voix le esprit au pertinent, je l’encourageais a continuer.
– Comme je disais donc, J’ai voulu vous demander de me pardonner. Mon comportement envers vous etait injuste et, bien entendu, le regrettable accident de hier apri?m ne se reproduira pas. Pas sans ce consentement, ceci va sans dire.
– Et si nous parlions de les envies i la place de parler de mon consentement ?
Alors qu’il relevait la tete par moi, perplexe, le serveur vint prendre notre commande en aperitif. Nicolas commanda votre alcool fort tandis que je demandais une limonade. Repartit avec notre commande, le serveur ferma la porte de une salon derriere et je vis Nicolas se detendre.
– De quelles envies parlez-vous ?
– Je cause de ce envie de m’embrasser, dis-je mysterieuse. Vous m’avez propose que cet accident ne se reproduirait plus sans mon consentement. Neanmoins, pensez-vous a vous ? Que se passera-t-il si l’envie de m’embrasser devient trop forte et que je vous repousse ? Est-ce que votre situation se repetera sans fin jusqu’a ce que nous en ayons fini avec ce contrat ?
Nicolas ne comprenait toujours gui?re ce que je voulais dire. Je tentais donc de devenir plus claire.
– Soyons honnetes envers nous aussi, meme si je vous ai repousse apres le baiser d’hier, je ne peux pas vraiment penser qu”il ne m’ait gui?re fera d’effet. A vrai dire, cela fera une eternite qu’on ne m’avait gui?re embrasse de la sorte.
Je me remuais sur mon siege, ne sachant De quelle fai§on expliquer la suite.
– Mais vous comprenez, je dors de la relation assez ardu et qui s’est en gali?re terminee. Je ne suis pas prete a en engager une autre pour le moment. C’est pour cela que je vous ai repousse hier, ainsi, c’est aussi pour cette raison que je vous repousserai tant que je n’aurais nullement fera le vide dans ma tronche.
J’avais sorti ces mots sans meme respirer. Mes joues de Nicolas tournerent au rose leger, avant que votre dernier ne se concentre a nouveau via le menu. Le serveur nous apporta des boissons, puis se retira de nouveau. Cela fut au tour de Nicolas de prendre la parole.
– C’est encore tres recent, j’suis desole de vous avoir mis en gali?re a l’aise. Je vous prie de m’excuser de mon acces de joie du Bartom.
Je ne sus reprimer un gloussement, qui fit relever J’ai tete du interlocuteur.
– Cela fera quand meme deux annees, c’est franchement que je n’arrive i chaque fois jamais a me faire a l’idee que cette personne a trompe tel il a pu le faire.
– Si j’etais cet homme, jamais je n’oserais penser une seule seconde a vous blesser. C’est pour ce motif que le comportement d’hier m’exaspere : je ne deteste l’idee de faire des difficultes a une cousine. Et il semblerait que vous Realiser du mal m’est encore plus insupportable.
Je le regardais maintenant tout d’un air nouveau, plein de paltalk reconnaissance. Une vague de chaleur s’empara de mes joues et je trempais mes levres dans ma limonade. Nicolas faisait tourner distraitement le alcool dans le verre.
– Je me demande bien a quoi vous pensez, dis-je joueuse. Si nous devons avoir une relation d’affaire, au sens ou je l’entends, il faudra savoir a bien nous reconnai®tre. Meme mes trucs des plus insignifiantes.
Il darda dans moi un regard surpris.
– Je pensais simplement a la tete de Nathalie. Je pense que je vais me faire remonter des bretelles demain matin au travail.
– Mais elle n’a pas a le faire. Apres bien, vous etes son patron. Je n’ai gui?re deserte mon poste car vous m’avez invite ici ce apri?m. C’est elle qui possi?de choisi, de sa propre initiative, de briser son contrat, de quitter le poste pour un diner. Je ne l’aurais gui?re fera, meme si c’etait 1 diner avec le grand patron.